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Ou se cache la mérule N°4

  • Photo du rédacteur: Florence Pistacchi
    Florence Pistacchi
  • 11 août
  • 2 min de lecture

Dernière mise à jour : 12 août


Les zones ou se cache la mérule et à inspecter prioritairement :


La mérule est sélective quand à son habitat initial, privilégiant les endroits qui réunissent ses conditions de prédilection:


Les partis ou se cache la mérule:


  1. Humidité

  2. Obscurité

  3. Confinement et chaleur modérée


Une inspection minutieuse de ces zones est donc capitale.


Mérule dans pièce d'eau: en cas de fuites récurrentes, de condensation excessive due à une mauvaise ventilation
Humidité


Zones classiques de développement en raison de leur humidité constante et de leur obscurité.
Dans l'obscurité

Si des fuites de toitures sont présente ou que la ventilation est défaillante peuvent offrir un environnement propice.
Confinement et chaleur modérer

Ou se cache la mérule ?


  • Caves, sous-sols et vides sanitaires:

    Zones classiques de développement en raison de leur humidité constante, de leur obscurité et de leur ventilation souvent insuffisante.

  • Charpentes, combles et greniers:

    Si des fuites de toiture sont présentes ou que la ventilation est défaillante, ces espaces peuvent offrir un environnement propice.

  • Pièce d'eau (salle de bains, cuisine, buanderie):

    En cas de fuites récurrentes, de condensation excessive due à une mauvaise ventilation, ou de défauts d'étanchéité, la mérule peut s'y installer discrètement.

  • Derrière les plinthes, doublages muraux (plâtres, lambris) et revêtements de sol non respirants:

  • Ces espaces clos créent un microclimat humide et confiné idéal. Le danger des cache-misère est réel: recouvrir un mur humide sans en traiter la cause ne fait qu'aggraver le risque et masquer le développement jusqu'à un stade avancé.

  • Plancher et parquets, surtout au rez-de-chaussée:

    Particulièrement vulnérables lorsqu'ils sont en contact direct avec des murs humides ou des sols non isolés de l'humidité terrestre.

  • Escaliers en bois:

    Les parties basses en contact avec des murs ou des sols humides représentent une zone de contamination fréquente.

  • Bois encastrés dans la maçonnerie ( poutres, solives):

    Les points de contact entre le bois et la maçonnerie humide (remontées capillaires, infiltration murales) sont des zones de démarrage privilégiées pour la mérule. La maçonnerie agit comme source ou vecteur d'humidité.

  • Zones exposées à des sources d'humidité avérées:

    Toutes les zones touchées par des fuites d'eau (toiture, plomberie, gouttière), des infiltrations (murs enterré, façades poreuses) ou des remontées capillaires doivent être inspectées.

  • Bâtiments anciens:

    Souvent moins bien ventilés et potentiellement affectés par des problèmes structurels d'humidité, ils sont des cibles fréquentes d'infestation.

  • Bâtiment récents ou rénovés:

Non épargnes, surtout si des travaux d'isolation ou d'étanchéité ont été réalisés sans amélioration parallèle de la ventilation. L'humidité piégée peut créer des conditions favorable à la mérule en cas de fuite ou de condensation.



💡 A retenir:


Les zones les plus à risques sont souvent celles que l'on ne voit pas.

Une inspection visuelle ne suffit pas: il faut penser structure, ventilation, contact bois maçonnerie et humidité cachée.



Une maison peut sembler saine en surface, tout en abritant une prolifération fongique invisible.

C'est dans les recoins oubliés que a mérule s'installe en silence.


Vous avez un doute sur la présence de mérule dans votre maison ?



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